Paroles,
musique et clavier: Michèle GARANCE
Violon: Marion NAVONE
Violoncelle: Véronique OLIVIER DE SARDAN
Interprète: CHILPERIC
Violon: Marion NAVONE
Violoncelle: Véronique OLIVIER DE SARDAN
Interprète: CHILPERIC
Une chanson pleine de
détails vécus, mais étant le porte-parole d'un HOMME qui reconstruit sa vie
après une histoire d'amour qui s'estompe rand merci à Chilpéric de
l'avoir ainsi mise en valeur
Le miel de la vie
J'ai
claqué la porte
à mes amours mortes
comme des cloportes
qu'on tue à la main
à mes amours mortes
comme des cloportes
qu'on tue à la main
J'ai
gardé les rires
oublié le pire
pour les souvenirs
de mes lendemains
oublié le pire
pour les souvenirs
de mes lendemains
J'ai
changé d'images,
volé d'autres pages
à des paysages
où il ne pleut plus
volé d'autres pages
à des paysages
où il ne pleut plus
Où des
ombres douces
glissent sur la mousse
d'un pays où poussent
des mots défendus
glissent sur la mousse
d'un pays où poussent
des mots défendus
Tout va bien j'existe
je ne suis pas triste
j'suis plus sur la liste
de ceux qu'on oublie
Si j'ai
fait mon deuil
d'un restant d'orgueil
c'est pour que je cueille
le miel de la vie
d'un restant d'orgueil
c'est pour que je cueille
le miel de la vie
Sous mes
cicatrices
Lentement se glissent
Des images qui disent
Nos belles années
Lentement se glissent
Des images qui disent
Nos belles années
Un pont
sur le Rhône
Un clocher qui sonne
Un vieux téléphone
D'où l'on s'appelait
Un clocher qui sonne
Un vieux téléphone
D'où l'on s'appelait
Des rêves
enfumés
Des tables serrées
Un goût de café
Et l'odeur des trains
Des tables serrées
Un goût de café
Et l'odeur des trains
Quand on
s'imagine
Le jour qui décline
Dans le creux d'une île
Où meurt le chagrin
Le jour qui décline
Dans le creux d'une île
Où meurt le chagrin
Puis la
vie s'efface
Et les ans qui passent
Griffonnent des traces
En forme de pleurs
Et les ans qui passent
Griffonnent des traces
En forme de pleurs
Mais tu
vois j'existe
Je ne suis plus triste
Je signe et persiste
Pour le mot bonheur
Je ne suis plus triste
Je signe et persiste
Pour le mot bonheur
Le temps
raccommode
les blessures où rôdent
au chaud de l'automne
les vieux souvenirs
les blessures où rôdent
au chaud de l'automne
les vieux souvenirs
Et
parfois l'on pense
qu'ils ont fait silence
et que sans souffrance
on peut leur sourire
qu'ils ont fait silence
et que sans souffrance
on peut leur sourire
Puis les
laisser dormir...
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