Paroles: André COUCHARIERE
Musique: Michèle GARANCE
Interprète: Thierry LAVIGNE
Au café
Au café de la gare
Y a des gens qu’en ont marre
Y a des gens qu’en ont marre
D’attendre en vain un train
Qui n’arrive jamais
Qui n’arrive jamais
Ils boivent et r’boivent du vin
Et puis roupillent après.
Et puis roupillent après.
Au café de l’église
Reviennent de la messe
Des dames patronnesses
Qui dans leurs robes usées
Reviennent de la messe
Des dames patronnesses
Qui dans leurs robes usées
Pensent à la
terre promise
En buvant leur café.
En buvant leur café.
De café en café
J’trimballe mes insomnies
Je n’peux pas m’arrêter
J’y consume ma vie
Qui s’en va en charpie
Dans les griffes de l’été.
J’trimballe mes insomnies
Je n’peux pas m’arrêter
J’y consume ma vie
Qui s’en va en charpie
Dans les griffes de l’été.
Au café
d’l’amertume
De l’aube au crépuscule
Des épaves noctambules
Viennent se vautrer au bar
Puis comme des somnambules
Disparaissent au hasard.
De l’aube au crépuscule
Des épaves noctambules
Viennent se vautrer au bar
Puis comme des somnambules
Disparaissent au hasard.
Au café du commerce
Avec leurs quelques tunes
Des alcolos conversent
Pareils à des escrocs
Et rêvent de fortunes
Qu’ils soutirent aux gogos.
Avec leurs quelques tunes
Des alcolos conversent
Pareils à des escrocs
Et rêvent de fortunes
Qu’ils soutirent aux gogos.
De café en café
J’trimballe mes insomnies
Je n’peux pas m’arrêter
J’y consume ma vie
Qui s’en va en charpie
Comme un jouet cassé
Au café d’la victoire
Y a des vieux combattants
Qui pleurent leurs jours de gloire
Avec un air absent
Tristes acteurs de l’histoire
Qui s’en fout complètement
Y a des vieux combattants
Qui pleurent leurs jours de gloire
Avec un air absent
Tristes acteurs de l’histoire
Qui s’en fout complètement
Au café du cimetière
Des gens pleurent et leurs larmes
Dégoulinent dans leurs bières
Ils ont rendu les armes
Veulent oublier la mort
Et l’ombre des croque-morts.
Des gens pleurent et leurs larmes
Dégoulinent dans leurs bières
Ils ont rendu les armes
Veulent oublier la mort
Et l’ombre des croque-morts.
De café en café
J’trimballe mes insomnies
Je n’peux pas m’arrêter
J’y consume ma vie
Qui s’en va en charpie
Comme un rêve brisé
De café en café
J’trimballe mes insomnies
Je n’peux pas m’arrêter
J’y consume ma vie
Qui s’en va en charpie
Depuis qu’tu m’as quitté
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